Je poursuis ma critique du militantisme en m'intéressant à la manière dont celui-ci prétend souvent combattre les préjugés, et en opposant à cette manière la posture radicale que je défends dans ce blog.
L'étymologie du mot est sans ambiguïté : le militant est une sorte de soldat ; le militantisme consiste à combattre. La critique de ce dernier n'est pourtant pas une critique du combat mais celle d'un travers dont il est fortement imprégné et qui fait selon moi le "militantisme" proprement dit, à savoir la fâcheuse tendance des individus à s'identifier à la cause qu'ils défendent.
Les spécialistes de l'information auraient-ils trop le nez dedans pour ne pas voir qu'ils ne savent plus ce qu'ils font ?
La Science existe-t-elle ? Je répondrais par l'affirmative, mais en précisant qu'elle est une institution incarnant moins une quête de connaissance qu'un projet universaliste.
Le darwinisme est un sujet explosif dès qu'on le remet en cause.
Je suis en profond désaccord avec la posture de la laïcité et je vais m'en expliquer dans cet article. Ce n'est pas sa cohérence interne que je critique mais le cadre qu'elle représente et qu'on finit par ne plus voir.
Au début de l'été 2011, je passais près d'une place de la grande ville qui est la plus proche de chez moi, et je fus interpellé par des pancartes rédigées "à l'arrache" et que leur auteurs, des indignés, accompagnaient de leur présence.